Quand on souhaite installer une piscine dans son jardin, on pense directement au bonheur qu’elle nous procure : relaxation, détente, baignade, etc. Mais, malheureusement, on fait l’impasse sur les questions essentielles qui influent sur la réussite du projet. Zoom sur 5 facteurs à prendre en considération pour choisir sa piscine.
1. Le type de piscine à installer dans le jardin
Une question à un million de dollars : quel type de piscine choisir ? Pour cela, il faut prendre en compte les démarches exigées par certains types de piscine, notamment la piscine semi-enterrée et la piscine creusée. En effet, leur construction exige leur déclaration aux impôts, le permis de conduire, les travaux de terrassement, etc. Or, une piscine hors sol implique seulement son installation dans le jardin pendant la saison estivale. Dans tous les cas, Eaulibre.fr pourra vous aider à concrétiser votre rêve !
2. La structure de la piscine
La structure de la piscine fait également partie des principaux critères, car ce point influe sur le résultat du bassin. Les heureux bénéficiaires auront le choix entre le béton, le bois, la coque, l’acier et la pierre naturelle. Cette dernière est très esthétique, mais souvent onéreuse. Quant au béton, il est durable, pérenne et solide. À propos du bois, il rend le bassin beaucoup plus authentique et chaleureux. Concernant l’acier, il est design et épuré. Enfin, la coque en polyester a l’avantage d’être économique et pratique.
3. Le budget pour réaliser le projet
Avant l’achat d’une piscine, il est capital de prendre en considération le budget alloué au projet. À cet effet, la piscine hors-sol est le modèle le plus accessible, mais la piscine coque reste l’option la plus économique et intéressante à la conventionnelle piscine enterrée. Pour les petits budgets, pourquoi ne pas opter pour une piscine en kit : en acier, bois ou béton. Pour minimiser le coût d’une piscine, les bricoleurs du dimanche peuvent réaliser eux-mêmes les travaux de terrassement.
4. Le revêtement de la piscine
Le revêtement de la piscine est également un critère fondamental. En effet, il influe sur l’aspect esthétique de la piscine, mais également sur l’aspect technique. Le revêtement de la piscine impacte sur l’aspect du bassin et sa couleur, en plus d’assurer son étanchéité. À cet effet, deux types de revêtements existent : indépendants et dépendants. Les revêtements dépendants, qui sont les peintures et les carrelages, ne garantissent pas l’étanchéité du bassin. Quant aux revêtements indépendants, le propriétaire a le choix entre l’enduit, la membrane armée, le polyester et le liner de piscine.
5. Le système de filtration et de sécurité
Depuis 2020, une piscine doit être équipée d’un dispositif de sécurité : bâche de piscine, alarme de piscine, barrière de piscine ou abri de piscine. Pour que l’eau de piscine soit limpide et claire, le bassin doit être équipé d’un système de filtration efficace. Certes, le filtre à sable est le plus célèbre et le plus répandu, mais le filtre à cartouches et le filtre à diatomées assurent une filtration beaucoup plus fine.
Optimisation de l’implantation et des équipements complémentaires
Au-delà du choix du modèle et du revêtement, il est essentiel de penser à l’implantation du bassin pour limiter l’évaporation, faciliter la maintenance et préserver l’empreinte écologique du projet. Orientez l’implantation en fonction de l’ensoleillement et du vent afin de réduire la déperdition de chaleur et la chute des débris. Prévoyez un dispositif de récupération des eaux pluviales et un système de drainage adapté pour maîtriser la percolation et protéger les fondations du terrain. L’intégration paysagère — berge végétalisée, haies filtrantes, zone tampon pour la biodiversité — favorise un petit écosystème autour du bassin et limite l’entretien mécanique. Pensez également aux accès et aux zones techniques pour accueillir une pompe et un local technique, ça simplifie les interventions et prolonge la durée de vie des installations.
Sur le plan technique, divers dispositifs complémentaires permettent d’améliorer la qualité de l’eau et la performance énergétique sans reprendre les solutions déjà évoquées. La thermorégulation via une pompe à chaleur adaptée réduit les cycles de chauffage, tandis que les procédés de traitement alternatifs comme l’ozone ou le traitement UV diminuent la dépendance aux produits chimiques. L’électrolyse au sel est une autre piste pour une désinfection plus douce. Pour alléger la corvée d’entretien, l’intégration d’un robot automatique et d’un système de domotique pour la surveillance du pH, de la conductivité et des niveaux d’eau permet une gestion prédictive et une maintenance ciblée. Ces options contribuent à optimiser la consommation énergétique et l’autonomie du bassin. Pour approfondir les solutions d’équipement et d’aménagement, consultez le site web In et Out et adoptez une stratégie centrée sur entretien préventif et efficacité énergétique.